Le camping Le Kervastard offre le cadre parfait pour passer d’agréables vacances en bord de mer en famille ou entre amis. L’établissement se fait aussi un nom en matière de vente de mobil-home en Bretagne. On peut faire de ce logement une résidence secondaire, ce qui pratique pour profiter librement de weekends ou de vacances en terre bretonne. Le reste de l’année, le propriétaire peut mettre son mobil-home en location pour avoir des revenus supplémentaires. Découvrez notre liste de mobil-homes en vente dans le Finistère :
Vente de mobil-home en Bretagne : les marques
Lieu de vacances situé à quelques minutes de la plage, du port de Fouesnant et du centre-ville, le camping Le Kervastard accueille chaque année de nombreux vacanciers venus profiter de la fraîcheur de l’air marin et de la beauté des paysages alentour.
La situation idyllique du camping fait d’ailleurs partie des raisons qui poussent certains de ces clients à franchir le Rubicon pour l’achat mobil-home Bretagne. Les acquéreurs ont le choix parmi plusieurs modèles confortables et spacieux, de fabrication IRM et Louisiane.
Les mobil-homes en vente en Bretagne séduisent par l’élégance de leur design mais aussi par la qualité de l’agencement des pièces, leur décoration accueillante ou encore pour la tranquillité de l’environnement dans lequel ils sont implantés.
Pourquoi acheter un mobil-home en Bretagne ?
Devenir propriétaire d’un mobil-home en Bretagne est une idée qui séduit de nombreuses familles françaises. Car l’opération rapporte des bénéfices non négligeables. La rentabilité de l’investissement tient notamment au bon emplacement dont jouit le camping. Qui plus est, le propriétaire peut profiter maximiser ses profits grâce à la défiscalisation des recettes locatives.
Pour ce faire, il est notamment recommander d’adopter le statut de loueur en meublé non professionnel. Le propriétaire a alors le choix entre deux régimes fiscaux. Ou bien il exerce sous le régime de micro-BIC, qui lui permet de déduire de l’assiette fiscale la moitié de ses recettes locatives. Ou alors il exerce sous le régime réel simplifié – si ses recettes dépassent les 70 000 euros ou s’il en fait la demande auprès du fisc – lui donnant droit à une déduction de l’ensemble de ses charges, dont les intérêts d’emprunt, les frais d’assurance, le coût d’éventuels travaux d’amélioration, le coût de l’amortissement…
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